Le 13/12/2025 à 13:23, Bernard Schoenacker a écrit :
Je voudrais rappeler un point simple, mais qui change absolument tout :
?? Markdown résout plus de problèmes de rédaction qu’il n’en cause.
Alors Markdown n'est pas un format mais une langage de balisage léger.
Et il est susceptible, et j'ai (trois fois hélas) le cas sur deux sites
différents où le Markdown n'est pas le même. La syntaxe varie d'un site
à l'autre et c'est très pénible.
Et il est très (trop) léger dès qu'on a affaire à des documents complexes.
pérenne (il ne devient pas illisible dans 10 ans),
l'ODF non plus, c'est d'ailleurs aussi l'une des raisons de sa création.
portable entre tous les systèmes.
C’est un format source — comme l’est LaTeX — ce qui garantit une stabilité maximale dans la
rédaction collaborative, là où DOCX/ODT connaissent régulièrement des corruptions ou des
divergences d’interprétation entre logiciels.
Ah mais c'est le cas aussi entre les diverses implémentations de
Markdown justement.
2. Markdown ne sacrifie pas la qualité du document final
Grâce à Pandoc, un fichier Markdown peut être converti proprement en :
PDF (via LaTeX),
ODT,
DOCX,
HTML,
ou tout autre format ouvert.
Pandoc n'est pas toujours parfait et, d'après mes essais, il est moins
bon pour les conversions en EPUB que LibreOffice + Writer2xhtml. Et il
nécessite de connaître les lignes de commande, sous Linux en tout cas
(et je ne l'ai pas dans ma distribution).
3. Avantage décisif : un format réversible
Contrairement à DOCX/ODT, qui deviennent vite opaques après modifications :
Euh ?
un document PDF généré depuis Markdown est reconstructible,
le Markdown d’origine reste toujours lisible et modifiable,
aucune information de structure n’est perdue.
Non plus dans l'ODF.
5. Conclusion : un outil que LibreOffice pourrait intégrer utilement
LibreOffice pourrait gagner en robustesse en :
proposant un import Markdown natif,
c'est le cas.
permettant un mode de rédaction en texte source,
on peut déjà, c'est ce que je fais quand je rédige pour LinuxFR.org !
J'ai configuré les intertitres avec une numérotation avec le nombre de #
. Pour les gras et les italiques, j'encadre de ** et de **, j'ai un
style pour les listes à puces. Et je mets les liens, les images et les
notes en syntaxe Markdown. Après, un copier-coller et tout est impeccable.
Mais la fonction d'export en Markdown est implémentée et devrait être
vraiment fonctionnelle pour les versions à partir des 26.2. Ce n'est pas
le cas aujourd'hui.
laissant ODT pour le rôle final de format administratif.
Euh non, pour les EPUB par exemple, LibreOffice et son format, c'est
mieux. Par exemple, pour ce long document complexe, je ne sais pas trop
comment j'aurais géré ça en MarkDown et en prime on a un PDF hybride
avec les sources. Et hors de question que je m'enquiquine à saisir des
balises et encore des balises.
https://numericoach.net/Le-Systeme-metrique-decimal
Accessoirement, les tableaux en MarkDown c'est pénible. Faisable, mais
pénible, et, s'ils sont grands, ça devient vite peu lisible.
--
Ysabeau
« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.
--
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