Date: prev next · Thread: first prev next last
2013 Archives by date, by thread · List index


Le 20/08/2013 17:07, Marie jo Libo a écrit :
Bonjour Jacques,

Le 20/08/2013 16:24, Jacques a écrit :
Le 20/08/2013 15:45, Marie jo Libo a écrit :
Bonjour,

Le 20/08/2013 14:15, Jacques a écrit :
Le 20/08/2013 11:57, Luc Novales a écrit :
Bonjour,

Le 20/08/2013 11:28, Landron Gérard a écrit :
Si la protection n'est pas capable de supporter un bug de libo, ce n'est pas une protection.
On n'est pas sur discuss-fr mais je ne sais pas si l'on peut parler de bug de LO (cela sous-entend qu'il faut le corriger). En quoi LibreOffice devrait respecter un simulacre de protection ? Ce serait même un peu de la complicité avec Microsoft que de faire croire à l'utilisateur qu'il est nécessaire de rentrer un mot de passe pour accéder à des données propriétaires non protégées. Que l'on ne cherche pas à détourner systématiquement les failles du format, soit. Mais je pense que les développeurs LO ont peut être d'autres priorités que que de passer du temps pour essayer de les masquer. ;-)

Luc.


Bonjour,

d'autant que si on a la curiosité d'utiliser Gnumeric c'est "pire" que LO. Les deux fichiers sont en lecture et écriture alors qu'avec LO il y en avait un des deux en lecture seule. Mais c'est une fausse lecture seule puisque vous pouvez sans problème copier le contenu dans un nouveau classeur lecture et écriture. Conclusion : documents accessibles à tout le monde et contenu absolument pas protégé.
Ok, ok ok. STOP !
Tenez ce discours à des utilisateurs pro Microsoft bornés mais pas sur cette liste. (nous sommes tous d'accord ici) Si nous utilisions notre énergie à fournir aux développeurs les analyses de nos tests et investigations, ce serait plus productif. Cela fonctionnait en OOo et en Libo 3.X donc il s'agit juste d'une régression, comme d'autres existent et sont ensuite corrigées. Merci à eux. Il ne s'agit pas d'un bug en effet. Quant aux priorités des développeurs. Lorsque 90% des français auront basculé à Office 2013, ils auront le temps de faire ce qui leur fera plaisir. Si nous voulons faire changer les chose (et je pense que c'est en cours), il faut faire des efforts. Et dans le commerce, c'est le "petit" qui s'adapte à son gros concurrent. Je rappelle que Mso arrête le suivi de ces produits XP et office 2003 le 8 avril 2014. C'est donc dans les 18 mois à venir que cela va se jouer. Et avec des élections au milieu,
c'est pas gagné.
Je sais que j'emploie ici des "vilains mots". Mais c'est la réalité économique et sociale de la chose. Pour obtenir des parts de marché, il faut se plier à quelques règles, mêmes absurdes soient elles. Je rappelle qu'un outil informatique ne sert à rien d'autre que d'être un outil pour des utilisateurs : des êtres humains. Or, ces problèmes de compatibilité n'emmerde ni Microsoft, ni aucun informaticien, juste des utilisateurs qui perdent du temps et maudissent le produit. Je rappelle qu'ils n'ont pas choisi, contrairement à nous, d'utiliser l'outil.

Désolée pour mon coup de gueule.
Et comme vous m'avez énervée, je viens de faire un autre Test. J'ai protégé en lecture seule un fichier ODS dans calc. Et son ouverture dans Excel 2010 fait péter la protection. Excel couine à l'ouverture et ouvre un fichier "réparé". Mais non protégé...


Bonne journée

Marie-Jo




Microsoft ou pas, ce n'est pas la question. Il se trouve simplement que nous avons eu en main des fichiers Excel à tester. Mais il faut surtout retenir le fait que ce type de protection n'est pas réellement fiable. Il m'est arrivé plus d'une fois d'arriver à dévérouiller des fichiers dont j'avais oublié le mot de passe en changeant de logiciel ou même tout simplement de version du même logiciel. Et des fois je n'ai pas réussi. Pourquoi ? Je n'en sais rien, je ne suis qu'utilisateur de base. Mais ma conclusion demeure : je ne fais pas confiance à cette méthode de protection pour des fichiers à diffuser.

Je suis tout à fait d'accord. "Les mots de passe n'embêtent que les braves gens". C'est pas de moi, je crois même l'avoir lu sur cette liste et je le dis souvent. Mais il ne s'agit pas d'une notion de confidentialité mais juste pour éviter qu'un utilisateur ne casse toutes les formules, s'il n'y ai pas autorisé. Il ne s'agira pas de malveillance mais de maladresse. N'empêche que les formules ne marcheront plus. Le tableur est très utilisé de nos jours. Je préconise aussi l'utilisation de modèles lorsque c'est possible. Mais tout dépend de l'utilisation du fichier. C'est pourquoi cette histoire de mot de passe pour permettre la modification est un souci à mes yeux et sur le terrain. Pour les mots de passe à l'ouverture, je tiens le même discours que toi. Et les programmes pour faire péter tous les mots de passe Mso se téléchargent facilement sur internet ;-)


Bonne journée

Marie-Jo




Pour éviter les maladresses on peut cloner plus ou moins précisément la feuille de calcul, les cellules "résultats" de la nouvelle feuille faisant référence aux cellules clonées, elles ne contiennent plus les formules. Il suffit alors de masquer la feuille contenant les calculs. En gros créer une feuille saisie/résultats au dessus de la feuille contenant les formules qui, elle, est masquée. Déjà, pour démasquer une feuille, c'est déjà une sacré maladresse ! Et puis ça marche avec tous les tableurs courants.
Bonne soirée





--
Envoyez un mail à users+unsubscribe@fr.libreoffice.org pour savoir comment vous désinscrire
Les archives de la liste sont disponibles à http://listarchives.libreoffice.org/fr/users/
Tous les messages envoyés sur cette liste seront archivés publiquement et ne pourront pas être 
supprimés

Context


Privacy Policy | Impressum (Legal Info) | Copyright information: Unless otherwise specified, all text and images on this website are licensed under the Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 License. This does not include the source code of LibreOffice, which is licensed under the Mozilla Public License (MPLv2). "LibreOffice" and "The Document Foundation" are registered trademarks of their corresponding registered owners or are in actual use as trademarks in one or more countries. Their respective logos and icons are also subject to international copyright laws. Use thereof is explained in our trademark policy.